36 secondes

C’est le temps de chargement initial que le miroir mettra pour démarrer après un allumage électrique.

Avant, le démarrage était de 1m46s. Et il fallait utiliser un clavier pour lancer l’application !

Avec Linux, on gagne 1 minute et 10 secondes au chargement.

Pourtant, les cartes matérielles utilisées ont des caractéristiques similaires. La différence réside essentiellement dans l’OS utilisé.

Windows n’est pas adapté à l’embarqué. Il est gourmand en ressources CPU/RAM et difficilement personnalisables (changement de logo, chargement automatique de l’application, redémarrage autonome en cas de bugs…).

Attention, je ne dis pas que Windows n’est pas customisable. Je partage mon ressenti après plusieurs mois d’analyse et de tests. Tout est faisable. Il s’agit de mesurer la courbe d’apprentissage, le niveau de faisabilité, le temps et l’autonomie qu’on y passe. Dans mon cas, il m’a été considérablement plus facile et rapide d’obtenir une solution “embarquée” avec Linux.

Linux permet une customisation complète, et simple. Charger uniquement les fichiers nécessaires.

Par ailleurs, si l’application crash, elle redémarre automatiquement.

5 secondes

C’est le temps nécessaire au redémarrage de l’application en cas de crash.

Le miroir est entièrement autonome. Il est paramétrable via l’application mobile uniquement.

Evidemment, le passage à Linux a nécessité du temps de développement supplémentaire pour adapter le code et quelques spécificités liées à la plateforme. Ce temps n’est pas négligeable, pourtant, indispensable.

Nous concluons nos derniers tests sur cette phase de développement supplémentaire sur Linux. Nous publierons dans un prochaine article les modifications logicielles les plus significatives liées au passage à Linux.

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